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15.08.2017

Rétro #4 "Le fantasme d'un Sciences Po parisien et inaccessible"

Tout au long de l’été, nous vous proposons de revivre des moments forts de l’année universitaire 2016-2017. Aujourd’hui, retour sur les 15 ans des Conventions éducation prioritaire. Pour fêter cet anniversaire, Sciences Po donnait la parole à quelques uns des 1600 étudiants entrés par ce dispositif créé en 2001. Parmi ces témoins, Bastien Desclaux, est venu raconter comment les CEP ont changé sa vie... et ses préjugés sur Sciences Po.

(article publié le 24/01/2017)

“Pour nous, Paris est un voyage.” Originaire d’un petit village de 300 habitants du Sud-Ouest de la France, Bastien Desclaux a bien failli ne jamais passer le concours de Sciences Po. “Trop loin, trop cher”, pensait-il. Aujourd’hui, il est étudiant en 2e année à Sciences Po, sur le campus de Reims. “Et depuis un an et demi, j’ai très exactement payé zéro euro de frais d’inscription”, explique-t-il. À l’occasion du 15e anniversaire de la création des Conventions éducation prioritaire (CEP), un programme qui permet à des lycéens issus de zones défavorisées d’intégrer Sciences Po, Bastien Desclaux est venu raconter pourquoi Sciences Po n’est pas si inaccessible. Découvrez son témoignage en vidéo.

Retrouvez également les parcours de nos autres témoins sur l’égalité des chances : Philippe BonnevillePablo AhumadaSami KeilanyFatoumata Sow, et Nicolas Vinci

Voir la soirée "15 ans d’égalité des chances" dans son intégralité

#Retro : les moments clés de l’année 2016-2017

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