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19.07.2018
Que font nos diplômés après Sciences Po ?
D’après notre dernière enquête d’insertion professionnelle portant sur la promotion 2016, nos diplômés s’insèrent toujours aussi aisément sur le marché du travail. 90,7% de ceux qui ont choisi d’entrer dans la vie active ont ainsi un emploi un an après leur diplôme. A 69%, ils travaillent dans le privé et, à 34% hors de France. Découvrez tous les résultats de notre enquête !
> Lire les résultats complets de l'enquête et le communiqué de presse du 19 juillet 2018
L’enquête en 5 chiffres clés*
- 81,3% des diplômés ayant répondu à l’enquête ont décidé d’entrer dans la vie professionnelle (76% en 2016)
- 90,7% sont en activité (91% en 2016, 88,8% en 2015, 85,5% en 2014)
- 83,7% ont trouvé leur premier emploi moins de six mois après la sortie de Sciences Po (88,4% en 2016, 87% en 2015, 81% en 2014)
- 69% travaillent dans le secteur privé (71% en 2016, 73% en 2015)
- 34% travaillent hors de France (35% en 2016, 38% en 2015)
Des diplômés qui s’insèrent bien et vite sur le marché du travail...
Parmi les étudiants ayant décidé d’entrer dans la vie professionnelle, 90,7% sont en activité, un chiffre stable par rapport à l’an passé. 7,6% d’entre eux seulement sont à la recherche d’un emploi (8,8% en 2016). À noter que 59,6% des répondants se déclarant à la recherche d’emploi ont en fait déjà occupé un premier emploi depuis leur sortie de Sciences Po, ce qui porte le taux d’insertion global à 96% !
Les délais d'accès à l'emploi restent rapides : 84% des diplômés ont trouvé un emploi en moins de 6 mois (88% en 2016). 72% des diplômés occupent un emploi stable, et la part des contrats à durée déterminée diminue par rapport à l'enquête précédente, passant de 20% à 12%.
Des salaires élevés
La rémunération brute annuelle moyenne atteint 37 164 €. Celle-ci est plus élevée que l’an passé (36 560 € pour la promotion 2015). La rémunération moyenne est plus élevée à l’étranger qu’en France
À 69% dans le privé
69% des des diplômés en emploi travaillent dans le secteur privé (contre 71% en 2016) ; 9% dans une organisation internationale ou au sein des institutions européennes (contre 8% en 2016) et 22% dans le secteur public (21% en 2016).
Plus d’un tiers des emplois hors de France
34% des répondants déclarent travailler hors de France. Cette forte internationalisation découle en partie d’étudiants internationaux retournant dans leur pays d’origine mais aussi des étudiants français qui sont 22% à trouver un premier emploi à l’international.
Des écarts de rémunération femmes-hommes persistants
Si les différences en termes de rythme et de qualité d’insertion professionnelle entre les étudiants et les étudiantes sont faibles, la rémunération des femmes est en moyenne de 15,6% moins élevée que celle des hommes. Une partie de ces écarts s’explique par des choix différents de master et de secteur d’activité, les hommes étant plus nombreux à choisir des secteurs plus rémunérateurs. Sciences Po poursuit un ensemble d’actions pour réduire les écarts de rémunération entre les hommes et les femmes : cycle d’ateliers, tables rondes, conférences... Une chaire sur l’entrepreneuriat féminin a été créé en 2018 pour évaluer les interventions visant à réduire les barrières auxquelles les femmes sont confrontées.
L ’apprentissage : un choix favorisant l’insertion professionnelle
Les étudiants en apprentissage sont plus fréquemment en emploi et ont des délais d’insertion raccourcis avec plus de 56% d’entre eux embauchés avant l’obtention du diplôme. Tout savoir sur l’apprentissage à Sciences Po.
Les étudiants en situation de handicap bien insérés sur le marché du travail
Un seul étudiant parmi les 19 étudiants disposant d’une RQTH (Reconnaissance de qualité de travail handicapé) est en recherche active d’emploi. Les autres sont en emploi ou en poursuite d’études.
*L'édition 2018 de l'enquête d'insertion professionnelle des jeunes diplômés de Sciences Po, qui porte sur la situation des diplômés de la promotion 2016 dix-huit mois après l'obtention de leur diplôme, a été réalisée sous la supervision scientifique de Roberto Galbiati (CNRS) et grâce au savoir-faire du Centre de Données Socio-Politiques. Elle a permis de recueillir des informations de 1 591 diplômés soit un taux de réponse de 76 %.
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Les résultats de l'enquête jeunes diplômés 2017 (promotion 2015)