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17.07.2025

Rapport du Jury Admission Parcoursup 2025

Avant-propos

Cette année, plus de 12 000 candidats ont souhaité intégrer le Bachelor de Sciences Po en postulant sur Parcoursup (voie générale, voie CEP et doubles diplômes). 1 246 ont été admis sur Parcoursup (829 par la voie générale, 176 par la voie CEP, 241 pour les doubles diplômes). Ces chiffres illustrent l’attractivité de Sciences Po et soulignent aussi le caractère fortement sélectif de notre processus d'admission. 

Cette sélectivité repose sur une évaluation approfondie de l’excellence de nos candidats, fondée sur l’examen de leur parcours scolaire et un entretien oral ; cet entretien permet de tester leur motivation, mais aussi la curiosité et les capacités de raisonnement attendues dans les formations dispensées à Sciences Po.

Assumer l’excellence va de pair avec une ambition élevée en matière de diversité sociale et territoriale. Cette année, nos candidats étaient issus de 1 973 établissements différents, confirmant ainsi la très large ouverture géographique et sociale de la procédure d’admission puisque plus de 70 % des lycées généraux de France envoient au moins un candidat à Sciences Po. La voie CEP confirme son rôle de diversification sociale du corps étudiant de Sciences Po puisque 26 % des admis par cette voie sont boursiers du secondaire (en hausse de 4 points en un an à la suite de la réforme adoptée en décembre 2024), contre 9,4 % sur la voie générale (en très légère hausse de 0,1 point). Ces chiffres, qui portent sur les boursiers du secondaire, ne doivent pas être confondus avec le taux de boursiers du supérieur présents à Sciences Po, nettement plus élevé du fait des critères retenus pour chaque catégorie.

Ils renvoient au caractère unique de la politique de Sciences Po en matière d’égalité des chances, qui repose notamment sur le complément de bourse offert par Sciences Po à l’ensemble des étudiants boursiers (à hauteur de 75 % de la bourse versée par le CROUS). Cet effort considérable fait de Sciences Po, cette année encore, un lieu de formation privilégié pour les élèves boursiers avec un excellent niveau scolaire. 

Le jury d’admission de la voie générale était cette année présidé par le professeur Christian Lequesne et le jury de la voie CEP était présidé par le professeur Régis Bismuth. Ce jury était composé de Luis Vassy, directeur de Sciences Po, de Jeanne Lazarus, doyenne du collège universitaire, d’Anne-Solenne de Roux, directrice adjointe de la formation et de la recherche, de Pauline Bensoussan, directrice des admissions, de Camille Longepe, responsable admission de la voie générale et de la voie internationale, de Marie Rassat, directrice exécutive du collège universitaire, ainsi que des directeurs et directrices des sept campus du collège universitaire, Lamiss Azab (Paris), Crystal Cordell Paris (Reims), Youssef Halaoua (Menton), Michaël Hauchecorne (Le Havre), François Laval (Nancy), Pascale Leclercq (Poitiers), Lukas Macek (Dijon) ainsi que de Myriam Dubois-Monkachi, directrice de la scolarité et de la réussite étudiante pour le jury CEP. Les examinateurs sont des professeurs permanents et des chargés d’enseignement de Sciences Po, ainsi que des membres de l’administration impliqués dans les questions pédagogiques.

Pour rappel, la voie d’admission Parcoursup s’adresse :

  • aux lycéens qui préparent un baccalauréat général, technologique ou professionnel de l’enseignement secondaire français, en France ou à l'étranger ;
  • aux élèves préparant un BFI, un baccalauréat en section européenne ou orientale ;
  • aux élèves ayant obtenu un baccalauréat français en novembre ou décembre de l’année N-1 dans un établissement où l’année scolaire se termine en novembre ;
  • aux élèves issus des établissements partenaires de Sciences Po ayant signé une Convention éducation prioritaire (CEP) qui ont participé à l’atelier au sein de leur lycée.

Descriptif de la procédure 

La procédure d'admission Parcoursup se déroule en deux temps :

  • étape 1 : elle se décompose en deux notes de même coefficient : l’une est calculée à partir d’une moyenne pondérée des notes suivantes : écrit du bac français (60 %), de l’oral du bac français, et de certaines notes de contrôle continu ; la seconde repose sur un examen qualitatif de la trajectoire scolaire du candidat à partir des bulletins scolaires de première et de terminale, ainsi que de la fiche avenir transmise par l’établissement ;
  • étape 2 : l’entretien oral.

Étape 1 : le dossier

La partie fondée sur les résultats chiffrés permet de calculer une moyenne pondérée dans laquelle la note obtenue à l'épreuve anticipée du bac de français joue un rôle important. Cette épreuve écrite constitue en effet le seul étalon commun sur lequel les qualités des candidats peuvent être comparées (épreuve préparée et passée nationalement). Cette épreuve permet également de s’assurer que les étudiants à Sciences Po possèdent d’excellentes compétences rédactionnelles, qui constituent une condition sine qua non pour réussir dans les différentes formations proposées.

L’évaluation qualitative prend la forme d’un examen rigoureux de chaque dossier de candidature par un évaluateur qui analyse en particulier le contexte d’études, les résultats scolaires, le positionnement dans la classe, l’écart à la moyenne, la progression, la régularité du travail, le niveau de la classe. Ces éléments sont fournis par les bulletins de notes, la fiche avenir et par les éléments transmis par les candidats sur Parcoursup. Les évaluateurs prennent aussi en considération les commentaires des enseignants portant sur l’investissement et le comportement des candidats durant leur scolarité (attitude durant les cours en particulier).

Cette année, les évaluateurs ont parfois été surpris par l’écart manifeste entre le caractère laudatif de certaines appréciations des professeurs et le positionnement réel de l’élève dans la classe. Inversement, des élèves en tête de classe, avec des notes présentant des écarts significatifs à la moyenne, ont parfois eu des appréciations lacunaires sur leurs bulletins de notes. Ces éléments rendent plus difficile l'appréciation du niveau scolaire réel des candidats dans le cadre d’une procédure où il s’agit de départager les très bons dossiers des excellents. Le fait pour les candidats de manifestement privilégier certaines matières au détriment d’autres a également pu les desservir.

Étape 2 : l’oral

À l’issue de cette première phase, 3 150 candidats ont été déclarés admissibles sur l’une des trois voies, et convoqués à un entretien oral qui se déroule à distance, via l'application Zoom. L’épreuve orale revêt, pour le jury, une importance déterminante, et joue un rôle de filtre dans la procédure d’admission. Elle permet de tester in situ les capacités de réflexion des candidats, de mieux comprendre leurs motivations, et de mesurer leur curiosité intellectuelle ainsi que leur intérêt pour les disciplines enseignées à Sciences Po. 

Cette année, le jury a parfois constaté une certaine confusion des candidats quant à la nature de cette épreuve et aux attentes de Sciences Po, ce qui implique de dissiper quelques idées fausses, parfois véhiculées par des formations privées.

Il s’agit bien d’une épreuve qui s’inscrit dans le processus global d’admission, dont le but premier est de recruter des lycéens avec un excellent niveau scolaire et présentant les qualités nécessaires pour s’adapter aux exigences de la formation dispensée à Sciences Po. L’épreuve orale ne saurait donc se limiter, pour les candidats, à faire état de leurs activités extrascolaires, qu’elles soient artistiques, sportives ou associatives. Ces éléments intéressent bien entendu le jury, notamment lorsqu’ils occupent une place déterminante dans la vie des candidats. Un candidat ayant fondé ou dirigé une association ; une candidate suivant un parcours sport-études ou classe musique, pourront légitimement souligner le caractère structurant de ces engagements dans leur parcours. Si le jury n’a bien entendu rien contre la pratique occasionnelle d’un sport, ou encore le fait d’occuper une position de délégué, il tient à préciser que cela ne constitue pas un élément de notation. Le jury invite donc les candidats à valoriser en priorité les engagements, activités et centres d’intérêt qui témoignent d’une cohérence personnelle et contribuent à structurer leur parcours intellectuel et humain.

Le jury souhaite également rappeler que les examinateurs sont conscients du fait que certains candidats ayant d’excellents résultats, n’ont pas nécessairement la possibilité d’avoir des activités extra-scolaires pour de multiples et légitimes raisons, notamment pour des raisons financières ou géographiques. Il ne leur en est évidemment tenu aucune rigueur. Bien souvent, cela ne les empêche pas en effet d’être d'excellents futurs étudiants, curieux, ouverts, capables d’exprimer une motivation très bien construite. 

L’oral a aussi pour objet de mesurer l’intérêt des candidats pour le projet pédagogique de Sciences Po. Cet intérêt ne peut être démontré uniquement par la connaissance intime des formations dispensées au sein de l’établissement. Le jury a relevé que les candidats ont tendance à mentionner systématiquement le titre d’un cours, comme s’il s’agissait d’un passage obligé, ce qui donne souvent lieu à un discours artificiel. Ainsi, le jury tient à rappeler qu’il n’y a aucune obligation de mentionner un séminaire précis de deuxième année pour prouver sa motivation. En revanche, l’intérêt pour les grands enjeux du monde contemporain et pour le projet pluridisciplinaire de Sciences Po est indispensable. Cet intérêt peut être démontré par des lectures et des connaissances sur les matières enseignées ou les thèmes des cours proposés.  Le jury insiste sur le fait qu’un ou une candidate peut être très persuasif en parlant avec conviction de son intérêt pour des sujets étudiés ou découverts au lycée. De la même façon, le jury souligne qu’il n’est aucunement nécessaire de citer une association de Sciences Po pour être admis.

Les candidats doivent trouver un bon équilibre entre des réponses trop lapidaires et trop longues. L’épreuve de l’oral passe très rapidement : il est indispensable de faire preuve de synthèse dans ses réponses. Des réponses trop longues limitent les échanges et le nombre de questions que les examinateurs sont en mesure de poser. Les réponses précises et sans digressions excessives sont à privilégier. 

L’épreuve se déroule de la manière suivante :  

  • le candidat présente sa pièce d’identité au jury, composé de deux personnes, qui donnent leur nom et leur fonction ;
  • il est ensuite invité à se présenter pendant deux minutes ; 
  • à l'issue, le jury présente deux images au candidat. Après avoir sélectionné l’une des deux, le candidat procède à un commentaire, pendant cinq minutes. Ce commentaire donne lieu à un échange avec le jury, pendant cinq autres minutes. 
  • pour finir, dix minutes d’échange libre permettent au jury d’interroger le candidat sur les raisons qui l’ont amené à candidater à Sciences Po, sur ses vœux de campus, et sur les éléments mentionnés dans les documents mis à leur disposition par le candidat (centres d’intérêt, lectures, activités extrascolaires…). 

Le jury a tenu à revenir sur l’ensemble de ces étapes, afin d’en clarifier le contenu, et de permettre aux candidats de se préparer au mieux. 

Présentation initiale :

Cette présentation, qui n’est pas censée se substituer aux documents écrits mis à la disposition du jury, doit permettre au candidat de rappeler au jury les éléments marquants de son parcours et de sa motivation. Il est à ce titre utile qu’elle mentionne son choix de campus et son projet scolaire et/ou professionnel (dès lors qu’il existe, ce qui n’est nullement une obligation à 17 ans).  Le candidat peut également évoquer des centres d’intérêt, liés, par exemple, à des disciplines enseignées à Sciences Po. 

Sur la forme, le jury rappelle que si cette partie doit être préparée, il souhaite que cette présentation ne soit pas lue afin de conserver une dimension de spontanéité.

Analyse d’image :

Cette partie de l’épreuve déconcerte souvent les candidats. Le jury a notamment remarqué qu’une forte proportion d’entre eux avait souvent tendance à « plaquer » trop rapidement des connaissances – plus ou moins précises – liées, par exemple, au dérèglement climatique ou aux inégalités femmes-hommes, sur des images qui ne le justifiaient pas, se mettant ainsi en difficulté lors des échanges avec les évaluateurs.

Le jury rappelle que l’objectif de cet exercice est bien de mesurer la capacité à observer et à analyser une image. Aussi invite-t-il les candidats à prendre le temps de choisir, et surtout à décrire avec soin (mais de manière synthétique) ce qu’ils voient. Cette étape, souvent manquante ou bâclée, est essentielle. Au-delà de la description formelle « au premier plan (...) au second plan », certains candidats ont su se distinguer en procédant à une analyse proprement esthétique des images proposées, analysant les jeux de couleur, de perspective, de composition, etc. 

L’analyse de la légende a, elle aussi, été trop souvent lacunaire. Elle aurait pourtant permis à de nombreux candidats d’éviter des contresens grossiers. Le jury insiste en effet sur un point : si l’analyse d’image ne suppose aucune connaissance préalable, il va de soi que les évaluateurs sont contraints de considérer défavorablement des erreurs si graves qu’elles traduisent une inadéquation entre le candidat et la formation fournie par Sciences Po. Ainsi un candidat a-t-il pu affirmer que le débarquement de juin 1944 avait eu lieu en Alsace, un autre que les États-Unis n’étaient pas industrialisés dans les années 1960, une autre que la Croix de Lorraine était un symbole vichyste, ou encore ignoré que les Amérindiens eussent partie liée à l’histoire des États-Unis d’Amérique (aucun de ces candidats n’a pu être admis).

D’une manière générale, les candidats ayant su le mieux maîtriser cet exercice ont adopté une attitude modeste et nuancée, n’hésitant pas à faire des suppositions lorsqu’ils ignoraient le contexte de création de l'œuvre. Dans ce cas, les évaluateurs ont bien entendu cherché à mettre les candidats sur la bonne piste, qu’ils ont souvent su trouver. 

La capacité à tenir compte des indications des évaluateurs a été particulièrement appréciée. Le jury invite les candidats à bien écouter et prendre en compte les questions et remarques qui leur sont adressées pour y répondre de manière concise, le temps imparti à cet exercice étant relativement court.

Discussion libre avec le jury :

Cette partie de l’examen oral permet aux évaluateurs de mieux comprendre les motivations du candidat, mais aussi de mesurer leur curiosité intellectuelle. Le jury rappelle à cet égard que, si l’entretien ne vise pas à vérifier la maîtrise de telle ou telle connaissance, il est clair que les candidats qui ont su démontrer leur capacité à parler avec précision et conviction – entre autres exemples – de l’histoire du Rwanda, des racines historiques de la guerre en Syrie ou encore du lien entre Yves Saint Laurent et l’Algérie, ont particulièrement séduit le jury. Les évaluateurs valorisent les candidats capables de parler avec spontanéité et rigueur de sujets qui leur tiennent à cœur, qu’ils ont approfondis par eux-mêmes.

Sur la forme, si l’écrasante majorité des candidats a su adopter un niveau de langage soutenu et une attitude idoine, le jury a pu déplorer, chez de rares candidats, un vocabulaire familier ou une posture relâchée. Il convient, en effet, d’adopter une attitude respectueuse lors du passage d’un examen. Le jury a apprécié de constater que les candidats étaient le plus souvent conscients de l’enjeu.

L’examen oral est, pour partie, un entretien de personnalité, mais ne saurait constituer un test du niveau d’engagement politique ou associatif des étudiants. Au contraire, les discussions portant sur ces sujets ont souvent donné lieu à des conversations assez convenues du type : « Mon expérience associative m’a donné l’opportunité de développer mes capacités de gestion d’équipe ». Comme évoqué plus haut, les expériences extra scolaires des candidats ont trouvé tout leur sens dès lors qu’elles occupaient une place structurante dans leur vie, au-delà d’une simple occupation ou d’un loisir. Ainsi, une candidate a-t-elle pu convaincre le jury en soulignant les difficultés administratives liées à la présidence d’une association loi 1901 ou un autre en décrivant les efforts menés par son association lycéenne auprès de financeurs potentiels. En outre, le jury précise qu’il n’est nullement besoin d’avoir identifié une association étudiante hébergée par Sciences Po dans laquelle s’engager pour convaincre de sa motivation.

Le jury tient à insister sur le fait qu’il attend des candidats une très bonne maîtrise des éléments évoqués dans le dossier de candidature mis à la disposition des évaluateurs. À ce titre, il a jugé avec sévérité les candidats professant un fort intérêt pour le Moyen-Orient, mais qui n’avaient pas la moindre idée de ce qui pouvait se dérouler en Syrie. En résumé, les candidats doivent se préparer à être interrogés de manière poussée sur les éléments dont ils choisissent de faire état dans leurs textes ou leur présentation liminaire. Ces discussions ont pu donner lieu, par moment, à de véritables moments de grâce qui ont enchanté le jury. Une candidate a ainsi su construire, avec beaucoup de maturité, une comparaison entre les itinéraires d’Albert Camus et de Kamel Daoud. Un autre, musicien, a quant à lui appris au jury les subtilités des controverses théoriques entre tonalisme et atonalisme dans la musique contemporaine !

De même, il convient d’être en mesure de justifier ses vœux de campus qui correspondent, comme doivent le savoir les candidats, à des spécialisations géographiques. Le jury s’est étonné de constater que des candidats souhaitant intégrer le campus du Havre, qui accueille la mineure géographique Asie, puissent ignorer qu’un conflit opposait l’Inde au Pakistan par exemple. De même, s’agissant d’une candidate qui voulait suivre le parcours « Europe-Afrique » du campus de Reims, et qui n’était pas capable de parler, même en termes non détaillés, des conflits en cours au Sahel ou dans la région des grands lacs. 

D’une manière générale, se présenter à l’oral de Sciences Po suppose un réel intérêt pour l’actualité nationale et internationale et un niveau solide de compréhension des enjeux politiques et sociaux en France, en Europe et dans le monde.

Le jury a pu s’étonner qu’un candidat, qui parlait avec assurance de son intérêt pour les finances publiques, pût totalement ignorer les chiffres du déficit, qui faisaient la une de la presse lors du passage de l'épreuve. Le jury recommande à ce titre aux candidats de lire régulièrement la presse dans le cadre de la préparation de leur oral, et de ne pas se limiter à s’informer par les seuls titres des articles sur les sites en ligne des journaux ou de résumés plus ou moins approfondis. 

Le jury a su cependant rassurer les candidats, en soulignant qu’ils bénéficiaient toujours d’une attitude bienveillante lors du passage de l’oral. Nombreux sont les candidats qui ont ainsi pu bénéficier d’une aide, ou d’un indice, alors qu’ils faisaient fausse route sur telle ou telle question. Le jury a cherché à distinguer, dans ces situations, ce qui relevait du stress, et a valorisé les candidats qui ont su, par la force de leur réflexion, revenir sur leurs erreurs pour corriger leurs raisonnements initiaux. 

Au-delà de ces remarques qui ont vocation à aider les futurs candidats à mieux comprendre les attentes, à identifier les erreurs les plus fréquentes et à cerner les qualités recherchées chez les futurs étudiants, Sciences Po se réjouit d’avoir pu recruter, à l'issue de cette procédure d'admission particulièrement exigeante 1 246 étudiants. 

Leur niveau est, pour cette année 2025, particulièrement excellent :

  • concernant la voie générale, 95,7 % des admis ont obtenu une mention Très Bien au bac (en hausse de 0,3 points par rapport à 2024) dont 42,7 % ont obtenu les Félicitations du jury (en hausse de 1,1 point) ;
  • concernant la voie CEP, les chiffres sont également excellents et en progression avec 21,3 % des admis ayant eu les Félicitations du jury, en nette hausse de 4,1 points par rapport à 2024 ;
  • concernant les doubles diplômes, 50 % des admis ont eu les Félicitations du jury avec un taux atteignant jusqu’à 80 % pour certaines formations.

Ces excellents élèves rejoindront en septembre prochain la grande famille de Sciences Po, cette institution d’excellence où, depuis plus d’un siècle et demi, nous cherchons à comprendre le monde pour mieux agir sur lui.

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Étudiants devant l'entrée du 1, Saint-Thomas (crédits : Pierre Morel)

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