Accueil>"Éviter le piège du fatalisme et celui de l'hubris"

26.11.2015
"Éviter le piège du fatalisme et celui de l'hubris"
Que s’est-il passé le 13 novembre ? Y a-t-il quelque chose qui n’a pas marché ? Que faut-il faire ? Ce sont les questions simples et obsédantes que Sciences Po a voulu poser à trois de ses enseignants et spécialistes du sujet mercredi 24 novembre, au cours d’une conférence organisée par l’École des affaires internationales pour “dialoguer ensemble sur les événements et tenter de retrouver nos repères”, selon les mots du doyen Enrico Letta. Les invités, qui enseignent tous les trois à Sciences Po, se sont exprimés sur ces questions avant de répondre aux questions des étudiants.
Remettre l’accent sur le “renseignement de terrain”
Louis Caprioli, ancien sous-directeur chargé de la lutte contre le terrorisme à la Direction de la surveillance du territoire (DST), a rappelé l’importance primordiale du renseignement obtenu sur le terrain :