O que pode mudar na política externa brasileira? Provavelmente pouca coisa ou quase nada. A política externa brasileira tem se caracterizado por ser, essencialmente, uma política de Estado e não de governo, como ocorre com a maior parte das demais políticas públicas que, elas, incorporam um grau de ideologização bem mais pronunciado. Historicamente e, a fortiori, nos últimos vinte anos não se pode identificar rupturas significantes na prática diplomática concebida e levada a cabo pelo Itamaraty.

Vendredi, 26 février 2010, au terme de plusieurs heures de séance plénière, la Cour Constitutionnelle colombienne a invalidé la loi qui organisait un referendum visant à permettre la réélection d'Alvaro Uribe à la tête de l'État. La décision de la Cour modifie profondément les enjeux des élections de mai prochain. Elle marque l'existence d'un véritable contre-pouvoir judiciaire en Colombie.

Sans surprise, le Parti des Travailleurs a officialisé jeudi 18 février 2010 la pré-candidature de Dilma Rousseff à la présidence de la République du Brésil. Si la pré-candidature de l'actuelle ministre de la Casa Civil ne faisait que peu de doute, la direction du PT attendait la célébration des 30 ans du parti (anniversaire célébré à Brasília dans le cadre de son 4e Congrès national, en présence de plusieurs dirigeants du PMDB allié) pour formaliser ce choix.

Sans surprise, le Parti des Travailleurs a officialisé jeudi 18 février 2010 la pré-candidature de Dilma Rousseff à la présidence de la République du Brésil. Si la pré-candidature de l'actuelle ministre de la Casa Civil ne faisait que peu de doute, la direction du PT attendait la célébration des 30 ans du parti (anniversaire célébré à Brasília dans le cadre de son 4e Congrès national, en présence de plusieurs dirigeants du PMDB allié) pour formaliser ce choix.

Au delà de la victoire de Sebastián Piñera aux élections présidentielles chiliennes de 2009, qui marquent le retour de la droite au pouvoir 22 ans après la chute de Pinochet, ces élections ont révélé la poussée d'une nouvelle génération dans la politique chilienne à travers la présence du candidat indépendant de 36 ans : Marco Enriquez-Ominami. Malgré son score de 20% des suffrages (qui ne lui a pas permis d'accéder au second tour), il pourrait incarner par sa jeunesse et sa détermination un nouveau souffle pour la politique chilienne.

A quelques jours du scrutin présidentiel, les médias costariciens vivent aux rythmes de la campagne électorale. Dans la rue cependant, il semble bien que ces élections n'aient pas soulevé l'intérêt qu'elles pouvaient provoquer par le passé. Pour comprendre cette morosité ambiante, il faut revenir sur ces six mois de campagne mais aussi sur les changements économiques, sociaux et politiques que le Costa Rica a connus depuis une trentaine d'années.

Falta muy poco para la segunda vuelta presidencial en Chile. El 17 de enero los chilenos deberán elegir entre la continuidad con Eduardo Frei (Concertacion) o la alternancia con Sebastian Piñera (Alianza por el Cambio). En la primera vuelta, el candidato del "cambio" logro 44% de los sufragios, mientras que el ex presidente de la República un 29%.

Nunca en 20 años la Concertación había tenido tan baja votación. Algo que se puede explicar por la irrupción de Marco Enríquez Ominami (MEO), ex miembro del Partido Socialista que ha alcanzado en primera vuelta unos 20%.

La réélection d'Alvaro Uribe Velez en 2006 a représenté une première dans l'histoire récente de la Colombie. En effet, l'interdiction de la réélection constituait un des fondements de l'équilibre politique de ce pays(1), longtemps déchiré par les affrontements entre les deux partis politiques au pouvoir, le parti libéral et le parti conservateur. Aujourd'hui, une deuxième réélection du président colombien semble probable.

José Mujica a été élu hier dimanche 29 novembre 2009 Président de la République Orientale de l'Uruguay. Avec l'économiste Danilo Astori comme candidat à la vice-présidence, l'ex-guérillero tupamaro a remporté près de 53% des votes, devançant de presque 10 points son adversaire et ex-président Luis Alberto Lacalle (42,92%) [données officielles publiées dans le quotidien La Repulica, édition du 30/11/2009 après le dépouillement de 96,27% des votes].

Dimanche 28 juin, les Argentins étaient appelés aux urnes pour renouveler une partie des sièges du Congrès National (environ la moitié des 257 députés et le tiers des 72 sénateurs). Ce scrutin était Initialement prévu pour octobre 2009. Mais la présidente Cristina Kirchnner a impulsé une modification du code électoral pour avancer la date du scrutin.

 

Retour en haut de page