Eduardo Rios, doctorant de Sciences Po présent au Venezuela depuis le début de la crise, fait part de ses observations de terrain et analyse la diversité des acteurs impliqués.

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Depuis plus d’un mois, la contestation gronde au Venezuela de la part de groupes sociaux et/ou d’opposition au gouvernement de Nicolás Maduro, au pouvoir depuis moins d’un an. Dans un contexte socio-économique difficile, les protestations entamées début février ont très rapidement pris un tournant politique, et surtout violent.

Dire que la grave crise qui secoue le Venezuela depuis deux semaines embarrasse l’Amérique sud est un euphémisme. Alors qu’elle avait fait preuve depuis le début de ce siècle d’une capacité tout à fait inédite à résoudre ses crises sans interventions extérieures, la voilà tétanisée, dans la crainte d’un dénouement violent.

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