Dans un contexte de criminalisation des militants écologistes, le droit est utilisé par l’Etat comme outil répressif. Dans la plupart des luttes sociales, le droit est critiqué pour systématiquement ignorer les problèmes d’inégalités sociales et de discriminations. 

En parallèle, de plus en plus de militants se saisissent du droit pour faire avancer la lutte pour la justice environnementale (L’Affaire du siècle, Procès contre Total, Reconnaissance du crime d'écocide…). 

Un droit au service de la justice environnementale est-il possible ? Peut-on changer notre rapport au droit pour faire face aux défis contemporains ? Si oui, comment ?

Venez nous rejoindre en H101 le mardi 6 février à 17h pour une table ronde suivie d’une discussion !