13/02/2023
19:15 21:00
Le bonapartisme appartient-il à l’Histoire ? Et s’il était toujours d’actualité ? Venez en débattre ce lundi avec François Harari, secrétaire général de l’Appel au Peuple.… Lire la suite

Le cycle ID de Contradixio ouvre la porte ouverte aux idées innovantes et disruptives pour enrichir le débat public. Après la décroissance et l’abstention, nous débattrons de la pertinence actuel d’un certain bonapartisme. Les échanges avec les étudiants sont mis au cœur de nos conférences. 
François Harari est secrétaire général de l’Appel au Peuple et viendra débattre du Bonapartisme à notre époque.

L'évènement se tiendra le lundi 13 février octobre de 19h15 à 21h en salle EE : Eugène d’Eichthal au 27 rue Saint-Guillaume.

Contradixio, l'association de débat de Sciences Po

Organisé par : Contradixio
Évènement en français
14/02/2023
17:00 19:00
Un nouveau volume des textes et discours de Jean Jaurès couvrant la période 1910-1912 vient d’être publié. Il complète une vaste entreprise scientifique et éditoriale coordonnée par Madeleine Rebérioux puis par Gilles Candar pour la Société d’études jaurésiennes, soutenue par la Fondation Jean Jaurès et le Centre national du livre. [...]… Lire la suite

Un nouveau volume des textes et discours de Jean Jaurès couvrant la période 1910-1912 vient d’être publié. Il complète une vaste entreprise scientifique et éditoriale coordonnée par Madeleine Rebérioux puis par Gilles Candar pour la Société d’études jaurésiennes, soutenue par la Fondation Jean Jaurès et le Centre
national du livre. Cette rencontre-débat reviendra sur l’importance de ces deux années dans le parcours de celui qui a marqué son époque et qui reste une référence indépassable.

Avec

Paul-André Rosental,
directeur du Centre d’histoire de Sciences Po (CHSP)

Marion Fontaine,
professeure des universités à Sciences Po, CHSP

Alain Chatriot,
professeur des universités à Sciences Po, CHSP

Elisa Marcobelli,
vice-présidente de la Société d’études jaurésiennes

La table-ronde sera présidée par
Jean-François Chanet, professeur des universités à Sciences Po (CHSP) et vice-président de la Société d’études jaurésiennes.

La période du 1er juin 1910 au 30 septembre 1912 met le Jaurès de la maturité aux prises avec son siècle. Sur le plan international, le danger de la guerre se précise avec l’ouverture de conflits dans les Balkans. Les possibilités d’affrontements sanglants entre nationalités prennent corps, ainsi que les rivalités et les ambitions des grandes puissances. La recherche de solutions alternatives pour la paix laisse simultanément entrevoir une voie vers la coopération européenne. Autant d’éléments qui nourrissent les discours et écrits de Jean Jaurès dont la stratégie internationale dépasse le cadre européen : nationalisme hindou et propositions américaines d’arbitrage, par exemple.

En politique intérieure, Jaurès s’attelle à la grande bataille pour la représentation proportionnelle (RP) qui soulève la question des alliances et, en filigrane, de la conception de la République et de la démocratie. Un combat de plus, en ces années de luttes, marquées par la grève des cheminots ou la poursuite des débats sur les retraites, qui mettent en jeu droits des travailleurs et prémices de l’État social. Dans les congrès nationaux et internationaux se forgent également les contours de l’identité socialiste au gré des controverses, sur le rapport à entretenir avec la franc-maçonnerie, le
syndicalisme, ou sur la position de L’Humanité, journal du parti ou journal socialiste. À l’heure où les menaces s’accumulent au cours de ces années 1910 à 1912, où se pose la question des chemins à suivre pour le mouvement ouvrier, sur le plan national et international, Jaurès incarne plus que jamais la voix du socialisme.

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Organisé par : Centre d'histoire de Sciences Po
Évènement en français
15/02/2023
18:30 20:30
“Un conflit vu d’ailleurs: la rivalité Maroc-Algérie vécue par sa diaspora”. L’iReMMO propose d’approfondir les questions de dispersion des communautés marocaines et algériennes ethniques. Dans le monde, le nombre de personnes en situation de diaspora n'est pas précisément connu, mais il peut être estimé à 600 millions, soit 10 % de l'humanité. Faite d'une multitude de noyaux dispersés, centres de communautés et d'une multipolarité sans hiérarchie stricte, la diaspora se tisse de liens communautaires essentiels à sa pérennité. Cette controverse établit son analyse à partir de diverses cultures régionales et questionne les différents entre deux nations aux identités bien singulières.… Lire la suite

Dans le monde, le nombre de personnes en situation de diaspora n'est pas précisément connu, mais il peut être estimé à 600 millions, soit 10 % de l'humanité. Faite d'une multitude de noyaux dispersés, centres de communautés et d'une multipolarité sans hiérarchie stricte, la diaspora se tisse de liens communautaires essentiels à sa pérennité. Cette controverse établit son analyse à partir de diverses cultures régionales et questionne les différents entre deux nations aux identités bien singulières.

Khadija Mohsen-Finan, enseignante à Paris I, spécialiste du Maghreb et des questions méditerranéennes, membre fondateur d’Orient XXI, chercheure au laboratoire Sirice et politologue.

Rachid Alaoui, socioéconomiste, expert des questions relatives aux discriminations et spécialiste des questions de diaspora marocaines.

Kader Abderrahim, chercheur spécialiste du Maghreb, maître de conférences à Sciences Po Paris, directeur de recherche à l’Ipse et Senior Advisor au Brussels International Center (BIC).

Modération : Hamza Bensouda, journaliste et freelance chercheur spécialisé dans les questions sociopolitique du Maghreb, coprésident de Socie’tea.

Organisé par : Socie'tea
Évènement en français