Avant de suivre l’Executive Master Management des médias et du numérique, Véronique Chabourine avait un profil un peu atypique, avec un parcours plutôt universitaire.
Au moment où elle ressent une certaine stagnation de sa vie professionnelle, elle décide de retourner sur les bancs de l’école et de se lancer dans une formation. Témoignage.
Après 20 ans dans des postes de direction commerciale, Florence Melin évolue vers la direction de la communication et des affaires publiques. Elle souhaite aborder cette nouvelle étape professionnelle en complétant son expertise par des apports académiques et choisit donc l’Executive Master Communication, dont elle sort diplômée en 2020, avec les félicitations du jury. Témoignage.
Juriste de formation, Oriana Labruyère a ressenti le besoin de bousculer son quotidien professionnel et de sortir de sa zone de confort. Elle décide alors de se lancer dans le Certificat Data Protection Officer. Retour sur une expérience de formation unique qui s’est déroulée en plein Covid-19.
Afin d’atteindre ses objectifs, Stéphanie Fillion comprend qu’une prise de hauteur sur son quotidien professionnel lui est nécessaire.
Hésitant entre un MBA et l’Executive Master Trajectoires dirigeants, elle décide finalement de se lancer dans la formation proposée par Sciences Po Executive Education. Retour sur une année de formation hors du commun.
Avec la mise en place de la directive européenne « Solvabilité 2 », les administrateurs des institutions de prévoyance ont vu leur rôle évoluer et être renforcé. Agnès Hautin, administratrice depuis plusieurs années, recherchait une formation qui lui permettrait de mieux appréhender son rôle. Elle s’est alors tournée vers le Certificat Administrateurs de Groupes de Protection Sociale. Témoignage.
La fabrique et la mise en oeuvre des politiques publiques sont aujourd'hui impactées par de profondes transformations : globalisation, approfondissement de l'européanisation, perte de confiance dans la démocratie représentative, contraintes budgétaires plus serrées, montée de questions d'éthique et de responsabilité sociale, transformations digitales et nouvelles sources de confiance sans tiers garant (cf.
Au sein d’une université de recherche internationale spécialisée en sciences humaines et sociales, Sciences Po Executive Education multiplie les formats pédagogiques novateurs. Au plus près des réalités du monde professionnel, Sciences Po Executive Education innove aussi bien dans l’élaboration des formations que dans la pédagogie déployée. En voici les exemples les plus représentatifs.
Des métiers qui se transforment rapidement, des compétences requises en perpétuel renouvellement, des méthodes de travail qui évoluent... Le visage des entreprises change aujourd'hui à grande vitesse et les soft skills apparaissent comme des atouts indispensables pour s'adapter à ces mutations.
Plus de 640 millions d'Africains n'ont pas accès à l'énergie en 2018, ce qui correspond à un taux d'accès à l'électricité pour les pays africains d'un peu plus de 40%, le plus bas du monde. En Afrique subsaharienne (hors Afrique du Sud), la consommation d'énergie par habitant est d'environ 180 kWh, contre 13 000 kWh par habitant aux États-Unis et 6 500 kWh dans l'Union Européenne.
En leur ouvrant les portes de nombreuses entreprises ou institutions à travers le monde, les learning expeditions de Sciences Po Executive Education permettent aux cadres d'élargir leur regard sur leurs métiers et leur secteur d'activité. Une expérience bousculant les certitudes et qui peut devenir une source d'inspiration dans leur quotidien professionnel.
Après 12 ans dans le conseil IT et de nombreuses expériences de management d’équipe, Romain Alnet a décidé de suivre le Certificat Leadership et Management Complexe. Une formation qui couvre un large spectre de thématiques, et qui permet aussi de mieux cerner sa place de leader dans un monde complexe et en constante mutation.
Témoignage.
Arrivé à presque 40 ans et après un bilan sur son parcours, Franck Beauvallet a décidé de suivre l’Executive Master Gouvernance territoriale et développement urbain. 15 mois de formation à temps partiel qui lui ont permis de prendre de la hauteur tout en restant dans l’action, et de réaliser son rêve : devenir chef d’entreprise.
Après avoir lancé le projet de mise en conformité au RGPD au sein du Groupe Bpifrance, Nora Bensaid a décidé de suivre le Certificat Data Protection Officer. Une formation qui lui a permis, quelques mois plus tard, de saisir une nouvelle opportunité professionnelle. Témoignage.
L’épidémie de Covid-19 a imposé dans l’entreprise un renouvellement des questionnements stratégiques, tant sur la pertinence de son business model que sur la définition de sa propre éthique. Autant d’axes de réflexion que les administrateurs doivent impulser au sein des conseils, afin que les organisations puissent faire face à la crise actuelle mais aussi à celles qui les toucheront demain.
À 23 ans, Éric Cuenot créé son entreprise, poussé par une envie d’entreprendre plus forte que celle de poursuivre ses études. 20 ans plus tard, il décide de reprendre le chemin de l’école et profite d’une parenthèse temporaire dans sa vie professionnelle pour redevenir étudiant, à Paris, et intégrer le Certificat Data Protection Officer. Témoignage.
Définir les valeurs de son entreprise, préciser son mode de fonctionnement, adapter en continu ses choix stratégiques face aux évolutions conjoncturelles... Autant de travaux à mener pour déployer une gouvernance efficace et adaptée au sein de son organisation.
C'est une nouvelle fonction qui fait progressivement son apparition dans les organisations depuis mai 2018. Le data protection officer (DPO) doit permettre à son entreprise d'être en conformité avec le Règlement général sur la protection des données. Un enjeu stratégique tant les flux de data sont en expansion et concernent désormais tous les services des sociétés.
En 2019, Sciences Po Executive Education continue de faire évoluer son offre de formation afin de toujours répondre à vos enjeux professionnels et ceux de vos organisations.
Devenue le théâtre de bouleversements économiques, technologiques culturels et sociaux majeurs, elle exige désormais de ses salariés qu’ils se montrent toujours plus agiles, mobiles, et qu’ils renouvellent régulièrement leurs savoirs comme leurs compétences.