Études doctorales
L’École de la recherche en histoire dispense une formation approfondie par la recherche, professionnalisante et tournée vers l’international, notamment au travers des thèmes abordés, de la présence d’étudiants et de professeurs étrangers et une offre de cours en anglais. Les enseignements sont systématiquement liés aux grands axes prioritaires de recherche déjà en œuvre par les membres de la Faculté permanente.
Le doctorat d’histoire offre une formation unique dans le domaine de l’histoire politique, transnationale et globale. Le programme accueille en particulier les candidats travaillant sur des projets relevant de l’un des quatre domaines de recherche principaux du Centre d’histoire.
L’objectif de la formation doctorale en histoire est de former des chercheurs et des chercheuses qui maîtrisent les problèmes et les concepts historiographiques clés, qui sont capables de mener des recherches archivistiques rigoureuses, et de participer à un débat historiographique international. La formation prépare des historiens et historiennes possédant à la fois une connaissance ample de l’histoire contemporaine et des compétences spécialisées : savoir mener des recherches importantes et novatrices, pouvoir enseigner des cours généraux au collège universitaire et dans les écoles secondaires. Pour cela, un vaste éventail de séminaires de recherche auxquels les étudiants sont invités à participer et à contribuer, est proposé ; de même que des ateliers mensuels pour doctorantes et doctorants dont le but est de discuter des travaux en cours de rédaction.
Par ailleurs, la formation encourage les doctorants et les enseignants-chercheurs à collaborer à l'organisation de séminaires de recherche et à diverses activités d’enseignement. Chaque année, de nombreux professeurs internationaux sont invités à venir discuter leurs recherches avec les doctorantes et doctorants.
Les opportunités professionnelles sont nombreuses : recherche et enseignement à l’université ou dans le secondaire, gouvernement, administration de l’enseignement supérieur, fondations, think tanks et autres organismes de recherche non universitaires, musées, institutions culturelles, journalisme, maisons d’édition, médias et secteur privé de manière plus générale.