Se sentir utile au travail, trouver du sens dans ses missions, avoir un impact positif sur son environnement… Les salariés n’éprouvent plus uniquement le besoin de réussir mais de se réaliser professionnellement. La crise du Coronavirus a contribué à redéfinir les priorités des collaborateurs pour être davantage en phase avec leurs aspirations personnelles. Un désir entendu par les DRH puisque 96 % d’entre eux attendent des managers qu’ils donnent du sens aux missions des salariés (contre 60 % en 2019 !). Mais comment conjuguer quête de sens et qualité de vie au travail ?
Il y a des héros que l’on connaît avant même de se plonger dans l'œuvre de leurs auteurs : Edmond Dantès, Corto Maltese, Jane Eyre… Largo Winch en fait partie. Baptisé milliardaire humaniste, il incarne une certaine idée du capitalisme éthique et responsable.
L’entreprise Bonduelle s’est lancée depuis deux ans dans un défi de taille : parvenir à obtenir la certification B Corp pour l’ensemble de son groupe. Un challenge des plus ambitieux, au regard de son périmètre. L’organisation compte aujourd’hui 14.600 collaborateurs et 56 sites industriels. Elle est présente à travers le monde, avec des implantations stratégiques en Europe occidentale, en Russie et à travers le continent américain.
Se sentir utile au travail, trouver du sens dans ses missions, avoir un impact positif sur son environnement… Les salariés n’éprouvent plus uniquement le besoin de réussir mais de se réaliser professionnellement. La crise du Coronavirus a contribué à redéfinir les priorités des collaborateurs pour être davantage en phase avec leurs aspirations personnelles. Un désir entendu par les DRH puisque 96 % d’entre eux attendent des managers qu’ils donnent du sens aux missions des salariés (contre 60 % en 2019 !). Mais comment conjuguer quête de sens et qualité de vie au travail ?
Il y a des héros que l’on connaît avant même de se plonger dans l'œuvre de leurs auteurs : Edmond Dantès, Corto Maltese, Jane Eyre… Largo Winch en fait partie. Baptisé milliardaire humaniste, il incarne une certaine idée du capitalisme éthique et responsable.
Contrôle des consommations d’énergie, relation avec les fournisseurs, mécanisme d’évaluation des collaborateurs, gestion des déplacements professionnels… Les entreprises souhaitant obtenir la certification B Corp le savent : elles doivent se pencher sur une multitude de critères sociaux, sociétaux et environnementaux pour espérer décrocher le label. Une certification exigeante qui est aujourd’hui en plein développement.
Il est des sujets, comme les data, pour lesquels un auteur est censé, dans les cinq premières lignes, indiquer son camp. Est-il pour ou contre ? Est-il pro ou anti ?
Jérôme Coullaré, analyste de données dans la filiale "Afrique et Moyen-Orient" d'Orange et porteur de mandats syndicaux, cherchait à sortir de sa zone de confort et appréhender le changement qui touche au dialogue social en entreprise, il a choisi l'Executive Master Ressources Humaines.
L’entreprise Bonduelle s’est lancée depuis deux ans dans un défi de taille : parvenir à obtenir la certification B Corp pour l’ensemble de son groupe. Un challenge des plus ambitieux, au regard de son périmètre. L’organisation compte aujourd’hui 14.600 collaborateurs et 56 sites industriels. Elle est présente à travers le monde, avec des implantations stratégiques en Europe occidentale, en Russie et à travers le continent américain.
C’est une « percée » qui a été remarquée. Dans une enquête menée par l’Association nationale des directeurs de ressources humaines (ANDRH) auprès de ses adhérents en septembre 2020, la Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) s’est imposée comme l’une des priorités principales des DRH pour 2021. « Le développement d’actions RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) » est apparu ainsi en deuxième position, derrière « l’accompagnement du management ». Avec 53 % des sondés, le sujet a connu une progression remarquable sur un an (+ 26 %).
Pourquoi devenir B Corp ? A chaque entreprise sa réponse. Réduire son impact environnemental, démontrer facilement ses actions à ses clients… Voici comment deux sociétés qui tirent profit aujourd’hui de leur certification.
Après avoir occupé plusieurs postes dans son entreprise, Nathalie Gorce-Joire souhaite découvrir de nouveaux horizons que ceux qu’elle a déjà expérimentés. Savoir se repenser ont été les maîtres mots pour se lancer dans une nouvelle étape professionnelle. Elle a choisi l’Executive Master Ressources Humaines pour l’accompagner.
Témoignage.
En 2019, Sciences Po Executive Education continue de faire évoluer son offre de formation afin de toujours répondre à vos enjeux professionnels et ceux de vos organisations.
Sciences Po Executive Education obtient le renouvellement de la certification de l’Agrément formation aux élus locaux. Ilaria Milazzo, directrice des programmes Affaires publiques et régulation, et Ghislaine Ferron-Haasz, responsable de programmes, nous éclairent sur cet agrément, qui constitue un véritable atout.
Prise de décision agile, hyper-croissance, nouveaux modes de financements (ICO), rôle des parties prenantes, etc. Autant de spécificités et d'exigences qui impactent la gouvernance des start-up.
Sciences Po Executive Education crée une formation courte spécialement dédiée à la gouvernance des start-up.
Fort du constat simple, et chaque jour plus évident, que les transformations actuelles ne permettent plus de se contenter de ses acquis et apprentissages, Sciences Po Executive Education vous accompagne dans vos dynamiques de transformations et de développement.