Témoignage de Laëtitia Laurent, alumna de l'Executive Master Communication

Laëtitia Laurent - Une étude du think thank californien « l'Institut pour le Futur » publiée en 2017 estimait que 85% des métiers de 2030 n’existaient pas encore. Face aux transformations digitales et sociétales que nous vivons, se former régulièrement devient indispensable. Suivre l’Executive Master Communication m’a permis de confronter 10 ans d’expérience dans la communication à ces transformations. J’ai également pris cette décision constatant que s’il y a beaucoup de femmes dans la communication, il y en a un peu moins aux postes de décision auxquels je souhaitais me préparer plus activement.

Laëtitia Laurent - J’ai trouvé avec Sciences Po Executive Education, plus qu’une école : une équipe d’experts, concentrée sur l'évolution de la carrière de ses apprenants, qui a été un vrai partenaire de mon développement professionnel et personnel.  J’ai d’abord été frappée par les qualités humaines, l’écoute, l’empathie de l'équipe pédagogique de Sciences Po Executive Education, et leur accompagnement sans faille.  Je venais de prendre la responsabilité de la Communication de la RSE et de la Fondation du Club Med et cette rencontre avec Sciences Po a conforté mon choix de l’école et levé toutes mes incertitudes.

Laëtitia Laurent - Un réel encadrement, l'accès aux enseignements de chercheurs-enseignants, un réseau important... J'ai rapidement ressenti que tout ceci me garantissait un contenu académique de très grande qualité.  Le programme est conçu, et repensé régulièrement, par une équipe pédagogique très impliquée. J'ai senti qu’elle était totalement connectée au monde de l’entreprise et aux transformations digitales et sociétales dès le premier jour de la formation. Nicolas Bordas et Assael Adary, notamment, sont très attentifs au rôle et la responsabilité de la communication dans ce contexte.  Bien qu'intenses, ces 2 jours de cours par mois m’ont permis de profiter pleinement de cette formation d’excellence tout en maintenant mon implication professionnelle. Une autre force du programme : l'individuel et le collectif. Les études de cas proposé en groupe nous ont fait travailler sur un projet commun exigeant et loin de nos univers, nous amenant à identifier les forces et les axes de progression de chacun, y compris les miennes. Le travail sur notre mémoire professionnel, lui, était réalisé individuellement. J'ai décidé de le consacrer au rôle du CEO dans la communication et l'engagement environnemental et sociétal de son entreprise. Sujet à la croisée de mes deux missions du moment : j’étais Responsable de la Communication RSE et j’accompagnais par ailleurs le Président du Club Med sur la préparation de ses prises de parole en interne sur la stratégie et la situation de l’entreprise.

Laëtitia Laurent - Je suis entrée dans cette formation avec une expertise et un esprit d’intrapreneur que j’ai pu renforcer tout au long de l’Executive Master, me nourrissant des témoignages des intervenants, de l’étude de cas et du mémoire professionnel.  J’ai également pris conscience et développé de nouvelles soft skills. Elles deviennent au moins aussi importantes que certaines expertises techniques qui peuvent rapidement devenir obsolètes dans un monde qui se transforme rapidement. De ces 18 mois, j’ai développé une vraie curiosité, une ouverture, une culture du benchmark et de la coopétition. Désormais Responsable Communication Externe au sein de la Direction de la Communication du Club Med, je donne régulièrement la parole à des communicants qui s’engagent dans le cadre d'un nouveau podcast que j'ai créé : " C'est pas que de la Com' ". Parce que s’il y a bien un domaine où l’on peut s’inspirer des bonnes pratiques de communication des uns et des autres, c’est celui de la RSE, dont les sujets sont souvent riches et complexes à traiter. 

Laëtitia Laurent - N’attendez pas d’être au pied du mur, pour vous former ! En choisissant de se former, on démontre une certaine capacité à se remettre en question, à travailler, à s’organiser pour mener différentes vies de front. Ces 18 mois m’ont bien sûr demandé beaucoup d’énergie, mais ils m’en ont aussi beaucoup donné !