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19.11.2018

François Desnoyer : "Cette formation m’a aidé à atteindre une forme de synthèse entre les qualités de l’exploitant et celles de l’explorateur."

François Desnoyer, ingénieur de formation nous raconte son besoin d’explorer d’autres horizons avec l'Executive Master Digital Humanities. Témoignage.

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Ingénieur de formation et après une première partie de carrière dans les métiers très techniques de l’ingénierie, j’ai éprouvé le besoin d’explorer d’autres horizons. 

L’Executive Master Digital Humanities a été une excellente opportunité de réaliser ce projet. Il m’a permis de mobiliser de nouveau mes compétences sur les sciences et les systèmes de l’information acquises au début de ma carrière à l’aune des changements fondamentaux et radicaux qui sont actuellement à l’œuvre dans les organisations et la société du fait du digital. 

Appréhender le digital par la voie des sciences humaines me semblait alors très juste et très complémentaire par rapport à mon expertise technique et ma formation initiale – les Arts et Métiers. Cette formation m’a donc aidé à atteindre une forme de synthèse entre les qualités de l’exploitant et celles de l’explorateur. Les anglo-saxons placent notamment ces deux dimensions au centre du jeu et encouragent à ce qu’ils appellent l’ambidexteritypour passer de l’une à l’autre et accompagner la transformation digitale des entreprises.

Je me souviens particulièrement des débuts du programme et de la période de grande effervescence qui l’accompagnait. Nous étions abreuvés de références académiques et conceptuelles qu’il fallait digérer à grande vitesse pour pouvoir devenir pleinement acteur de la formation. En fait, celle-ci a démarré bien avant les premiers cours avec une bibliographie assez conséquente à assimiler pendant l’été, le ton était donné très tôt. Par la suite, on trouve son rythme de croisière assez naturellement dès lors que l’on adopte de nouveau la posture d’étudiant plutôt que celle de l’expert. Ce point ne m’a pas posé problème, j’ai trouvé même plutôt jouissif de disposer de nouveau d’une carte d’étudiant à 42 ans ! 

J’ai eu la chance, pour ce qui me concerne, de pouvoir lier complètement cette formation à ce que je faisais dans mon entreprise. Elle m’a donné des outils pour structurer ce que j’étais en train de faire, notamment au travers d’une charpente théorique, mais elle m’a aussi donné confiance en moi en me montrant que mes idées étaient n’étaient pas décalées et méritaient d’être poussées jusqu’au bout. 

J’ai pu alors les assumer pleinement et ainsi engager l’entreprise dans un plan de transformation, fort de cette confiance. J’ai d’ailleurs été promu Chief digital officer pendant ma formation, c’est-à-dire finalement garant de l’appropriation du digital par l’entreprise, pour la préparer à évoluer dans un environnement concurrentiel renouvelé.

On m’avait mis en garde sur l’après formation et le retour au quotidien parfois difficile à gérer. Pour moi, il s’est passé sans souci. Comme j’avais pu transformer pendant ma mission les apports du programme en des bénéfices tangibles pour moi et pour mon entreprise, ce n’était plus un sujet de stress. D’autre part, les amitiés nouées au fil de la formation ont fait que nous avons éprouvé l’envie avec un collègue de promotion de capitaliser sur nos travaux en nous plongeant dans l’écriture d’un livre … l’aventure n’est donc pas terminée, elle ne fait que commencer !

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« L’aventure n’est donc pas terminée, elle ne fait que commencer ! »

François Desnoyer (Diplômé 2018 de l’Executive Master Digital Humanities).

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