Le GEVIPAR, Groupe d’études sur la vie et les institutions parlementaires organise diverses manifestations scientifiques en lien avec les questions parlementaires. Les « Cahiers du GEVIPAR » reprennent, sous un format numérique, le contenu de certaines d’entre elles.

À quatre mois des municipales 2026, les chercheurs du CEVIPOF livrent une enquête inédite sur l’état d’esprit des maires : un mandat éprouvant, mais une forte envie de poursuivre.

Dans cette 7e note de la collection "Fractures françaises", Mathieu Gallard et Stéphane Zumsteeg (Ipsos France) analysent l’évolution du front républicain – ce réflexe électoral visant à faire barrage à l’extrême droite.

Au-delà des oppositions gauche-droite, Luc Rouban identifie trois grands groupes sociaux qui structurent désormais la vie politique française. Une typologie inédite pour comprendre la montée du RN et la crise durable de la représentation.

Les candidats au concours CNRS 2026 (sections 39 et 43) souhaitant un soutien du CEVIPOF, peuvent envoyer leur demande jusqu'au 1er décembre 2025.

À partir des derniers résultats de l’enquête "Fractures françaises", Kevin Arceneaux et Anne Muxel (CEVIPOF) mettent en lumière quatre profils d’électeurs – libéraux nationaux, étatistes ouverts, étatistes nationaux et libéraux ouverts.

Treize ans d’enquête confirment une crise démocratique enracinée. La confiance dans les institutions nationales recule, tandis que l’attachement aux repères de proximité — éducation, science, élus locaux — demeure solide.

Grâce aux données de l'enquête "Fractures françaises", Bruno Cautrès (CEVIPOF) analyse l’évolution du rapport des Français à l’Union européenne depuis dix ans, entre attachement durable et doutes persistants.

Kevin Arceneaux (CEVIPOF) s’intéresse à l’un des sujets les plus sensibles du débat public : l’immigration. C'est la 4e note de la collection dédiée à cette enquête emblématique.

La troisième note de la collection "Fractures françaises", proposée par Frédérik Cassor, dresse un état des lieux sans concession de la perception des partis politiques en France depuis 2020.

Deuxième note de la collection "Fractures françaises" basée sur dix ans d’enquêtes, l'analyse d'Anne Muxel (CEVIPOF) revisite la question générationnelle et bouscule certaines idées reçues...

À l’approche de la 13ème vague de l’enquête "Fractures françaises", le CEVIPOF lance une collection de notes de recherche. La 1ère, signée Luc Rouban, analyse l’implantation du RN dans la société française depuis 2015.

En quittant Matignon après quelques semaines, Sébastien Lecornu signe l’échec d’un système politique en crise. Luc Rouban (CEVIPOF) livre une analyse fouillée de cette instabilité, symptôme d’un dysfonctionnement démocratique désormais chronique.

Félicitations à Camille Collin et Tristan Boursier qui ont été sélectionnés par le Centre de recherche interdisciplinaire sur la diversité et la démocratie (CRIDAQ, UQAM) pour réaliser un stage postdoctoral durant l’année universitaire 2025-2026.

La démocratie se trouve fragilisée par l’érosion de ses fondements sociaux et la montée des tensions internationales. À partir de la sociologie historique, Alexandre Escudier (CEVIPOF) analyse le grand défi contemporain : la résilience démocratique.

Le Cevipof et Agro Toulouse lancent une enquête annuelle inédite, pour recueillir le ressenti et les conditions de vie des agriculteurs et agricultrices.

Nommé 1er ministre, Sébastien Lecornu doit bâtir une coalition, mais l’essentiel des partis rechigne à gouverner. Comment expliquer ce manque d’attrait pour l’exercice du pouvoir ? L'éclairage d'Olivier Costa (CEVIPOF) à travers les spécificités du parlementarisme français.

Les chercheurs Marion Fontaine (Centre d'histoire) et Samuel Hayat (CEVIPOF) proposent face caméra leur analyse du mouvement du 10 septembre, l'inscrivant dans une perspective historique et internationale.

À quelques jours du scrutin du 8 septembre, une analyse détaillée de milliers de verbatims d’enquêtes IPSOS-BVA, proposée par Bruno Cautrès du CEVIPOF, montre que François Bayrou a perdu la bataille de l’opinion avant même d’affronter celle de l’Assemblée.

À Chisinau, les dirigeants français, allemand et polonais ont célébré fin août l’indépendance de la Moldavie aux côtés de Maia Sandu, à l’approche d’élections législatives décisives entre pro-européens et pro-russes. Florent Parmentier du CEVIPOF décrypte cette réunion sous haute tension géopolitique.