Témoignage de Lucie Sarles-Frachon, participante de l’Executive Master Stratégie et finance de l’immobilier

Lucie Sarles-Frachon - Urbaniste consultante, je travaille au sein d’équipes de maîtrise d’œuvre sur des projets d’aménagement urbain. Le constat d’un désengagement progressif des financements publics dans l’aménagement du territoire au profit d’opérateurs privés, m‘a poussée à faire cette formation. J’ai pris la décision de suivre l’Executive Master Stratégie et finance de l’immobilier lorsque j’ai subi une baisse d’activité du fait des élections municipales et du gel cyclique des projets d’urbanisme. Je souhaitais mieux comprendre la logique de ces opérateurs privés et les conséquences sur la fabrique de la ville.  Sur le plan personnel, mes deux jeunes enfants étant scolarisés, c’était le bon moment pour donner un nouvel élan à ma carrière.

Lucie Sarles-Frachon - Le contenu de l’Executive Master Stratégie et finance de l’immobilier répondait à ce que je recherchais. La réputation, la qualité des formations dispensées par Sciences Po ainsi que son réseau professionnel, m’ont convaincue.

Lucie Sarles-Frachon - Malgré les restrictions sanitaires qui ont sans nul doute impacté la promotion, j’ai particulièrement apprécié la capacité d’adaptation et les efforts fournis par les équipes de Sciences Po Executive Education pour maintenir le présentiel. J’ai pu, grâce aux intervenants d’une grande qualité et aux échanges avec les participants, mieux appréhender l’ensemble des métiers qui participent à la production et aux financements de l’immobilier.  Je dois beaucoup au mémoire de recherche, qui m’a permis d’affiner mon projet professionnel et m'a donné l’opportunité d’aller à la rencontre d’opérateurs et d'obtenir des missions de prestations urbaines. Grâce à cet exercice j’ai pu me positionner en tant que « spécialiste » sur un secteur en particulier. 

Lucie Sarles-Frachon - N'ayez pas peur de vous lancer dans une formation professionnelle, vous y trouverez un enrichissement personnel et professionnel. Si c'était à refaire, je ferais le même choix.