Se sentir utile au travail, trouver du sens dans ses missions, avoir un impact positif sur son environnement… Les salariés n’éprouvent plus uniquement le besoin de réussir mais de se réaliser professionnellement. La crise du Coronavirus a contribué à redéfinir les priorités des collaborateurs pour être davantage en phase avec leurs aspirations personnelles. Un désir entendu par les DRH puisque 96 % d’entre eux attendent des managers qu’ils donnent du sens aux missions des salariés (contre 60 % en 2019 !). Mais comment conjuguer quête de sens et qualité de vie au travail ?
Il y a des héros que l’on connaît avant même de se plonger dans l'œuvre de leurs auteurs : Edmond Dantès, Corto Maltese, Jane Eyre… Largo Winch en fait partie. Baptisé milliardaire humaniste, il incarne une certaine idée du capitalisme éthique et responsable.
L’entreprise Bonduelle s’est lancée depuis deux ans dans un défi de taille : parvenir à obtenir la certification B Corp pour l’ensemble de son groupe. Un challenge des plus ambitieux, au regard de son périmètre. L’organisation compte aujourd’hui 14.600 collaborateurs et 56 sites industriels. Elle est présente à travers le monde, avec des implantations stratégiques en Europe occidentale, en Russie et à travers le continent américain.
C’est une « percée » qui a été remarquée. Dans une enquête menée par l’Association nationale des directeurs de ressources humaines (ANDRH) auprès de ses adhérents en septembre 2020, la Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) s’est imposée comme l’une des priorités principales des DRH pour 2021. « Le développement d’actions RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) » est apparu ainsi en deuxième position, derrière « l’accompagnement du management ». Avec 53 % des sondés, le sujet a connu une progression remarquable sur un an (+ 26 %).
Pourquoi devenir B Corp ? A chaque entreprise sa réponse. Réduire son impact environnemental, démontrer facilement ses actions à ses clients… Voici comment deux sociétés qui tirent profit aujourd’hui de leur certification.
Il n’y a pas de calendrier pour entrer dans le processus de recrutement des formations longues de Sciences Po Executive Education : les candidatures se déroulent tout au long de l’année. Quelles sont les étapes clés pour constituer son dossier ? Comment préparer son entretien d’admission ? Quelques conseils pour une candidature réussie !
Vous êtes à la recherche de nouvelles compétences pour rester compétitif et efficace au sein de votre entreprise. Vous souhaitez renforcer rapidement vos compétences pour gagner en expertise sur des sujets précis. Cinq raisons de choisir Sciences Po Executive Education pour suivre une formation courte.
Vous souhaitez prendre de la hauteur par rapport aux enjeux de votre secteur et suivre une formation qui impacte votre carrière de manière décisive. Cinq raisons de suivre un Executive Master à Sciences Po Executive Education.
J’ai envie de m’investir dans une formation innovante, inspirante et diplômante. Je pense aux formations de Sciences Po Executive Education… Mais quels sont les critères ? Est-ce que mon parcours correspond aux profils qui composent les promotions ?
Risque pénal, crises médiatiques et protections des données personnelles sont autant de nouveaux enjeux pour les entreprises, dans la gestion desquels les directions juridiques sont étroitement impliquées. Pour accompagner l'évolution de la fonction, Sciences Po propose, en partenariat avec le Cercle Montesquieu et DLA Piper, l’Executive master General Counsel, une formation en management juridique stratégique.
Après 12 ans dans le conseil IT et de nombreuses expériences de management d’équipe, Romain Alnet a décidé de suivre le Certificat Leadership et Management Complexe. Une formation qui couvre un large spectre de thématiques, et qui permet aussi de mieux cerner sa place de leader dans un monde complexe et en constante mutation.
Témoignage.
Arrivé à presque 40 ans et après un bilan sur son parcours, Franck Beauvallet a décidé de suivre l’Executive Master Gouvernance territoriale et développement urbain. 15 mois de formation à temps partiel qui lui ont permis de prendre de la hauteur tout en restant dans l’action, et de réaliser son rêve : devenir chef d’entreprise.
Après avoir lancé le projet de mise en conformité au RGPD au sein du Groupe Bpifrance, Nora Bensaid a décidé de suivre le Certificat Data Protection Officer. Une formation qui lui a permis, quelques mois plus tard, de saisir une nouvelle opportunité professionnelle. Témoignage.
L’épidémie de Covid-19 a imposé dans l’entreprise un renouvellement des questionnements stratégiques, tant sur la pertinence de son business model que sur la définition de sa propre éthique. Autant d’axes de réflexion que les administrateurs doivent impulser au sein des conseils, afin que les organisations puissent faire face à la crise actuelle mais aussi à celles qui les toucheront demain.
À 23 ans, Éric Cuenot créé son entreprise, poussé par une envie d’entreprendre plus forte que celle de poursuivre ses études. 20 ans plus tard, il décide de reprendre le chemin de l’école et profite d’une parenthèse temporaire dans sa vie professionnelle pour redevenir étudiant, à Paris, et intégrer le Certificat Data Protection Officer. Témoignage.
Définir les valeurs de son entreprise, préciser son mode de fonctionnement, adapter en continu ses choix stratégiques face aux évolutions conjoncturelles... Autant de travaux à mener pour déployer une gouvernance efficace et adaptée au sein de son organisation.
C'est une nouvelle fonction qui fait progressivement son apparition dans les organisations depuis mai 2018. Le data protection officer (DPO) doit permettre à son entreprise d'être en conformité avec le Règlement général sur la protection des données. Un enjeu stratégique tant les flux de data sont en expansion et concernent désormais tous les services des sociétés.
En 2019, Sciences Po Executive Education continue de faire évoluer son offre de formation afin de toujours répondre à vos enjeux professionnels et ceux de vos organisations.
Devenue le théâtre de bouleversements économiques, technologiques culturels et sociaux majeurs, elle exige désormais de ses salariés qu’ils se montrent toujours plus agiles, mobiles, et qu’ils renouvellent régulièrement leurs savoirs comme leurs compétences.