Amaéna Guéniot

ATER 2022/2023
  • Amaéna GuéniotAmaéna Guéniot
  • Amaéna GuéniotAmaéna Guéniot

Amaena Guéniot, agrégée de philosophie et ancienne élève de l’ENS Ulm, est attachée temporaire

d’enseignement et de recherche en théorie politique à Sciences po Paris. Elle a enseigné la philosophie

à l’Université Paris Nanterre de 2018 à 2022, en tant qu’allocatrice monitrice normalienne et

doctorante contractuelle puis en tant qu’ATER à temps plein. En parallèle de sa thèse qui porte sur le

concept de projet, elle a écrit un livre paru en mai 2022 aux éditions Double ponctuation : Terre

brisée, Pour une philosophie de l’environnement.

 

Amaena Guéniot dispense une conférence de méthode rattachée au cours magistral d’Astrid von

Busekist « ABCdaire Politique ». Elle est également chargée de deux conférences de lecture sur le

thème de la responsabilité, rattachées au cours d’Humanités politiques de Frédérique Leichter-Flack.

Elle donnera, au semestre de printemps, un séminaire à la croisée de l’histoire de la philosophie et des

questions politiques et sociales du travail et de l’environnement.

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Call for papers - "Teaching with AI: technical, pedagogical and ethical challenges"

Deadline : 8th April 2024
For the Department of Political Science one-day workshop
  • Actualité Sciences PoActualité Sciences Po

Department of Political Science one-day workshop

Recent developments in artificial intelligence (AI) and its accessibility to a wide audience bring up important challenges to higher education, thus raising questions about the effect of technological innovations on teaching practices in the Social Sciences. Three aspects receive particular attention: on the one hand, debates surrounding "ChatGPT" have inevitably raised questions about the reliability of academic assessment methods. How can we ensure that a paper is not generated by an AI? Should we aim at uncovering AI users and, if so, under which conditions? How can we conceive exercises and activities that allow for a supervised use of AI? On the other hand, it is worth considering the possibility of integrating these tools into our teaching practices. How can we take advantage of this technological development to devise innovative and creative practices, as well as new modes of assessment, rather than repressing its use? Finally, concerns regarding the impact of AI on the public sphere, including on journalism, research and political marketing, are also important to consider. Particular attention is paid to the use of AI and a manipulative device as seen in the development and spread of political discourses, images and videos, and beyond. Such instrumentalization challenges the concept of “truth” in the media space, thus hindering the detection and regulation of AI in a context of expanding digital capitalism, with respect to which our students must learn to reflect and position themselves. Against this background we propose to address this topic from two main perspectives.

1. AI development: ethical and pedagogical challenges

We welcome contributions that tackle several aspects of the ethical and pedagogical challenges concerning the use of AI such as:

- Could AI harm students’ analytical capacity?

- What are the potential effects of AI learning on inequality among students? - Could mastery of AI and its political regulation become a distinctive professional skill? What kind of training should students receive in order to develop such capacity?

2. Pedagogical practices: innovative examples

We are interested in sharing and discussing good practices and concrete pedagogical innovations. This includes – but is not limited to – the following points:

- Using AI to facilitate class discussions

- Designing new evaluation methods by integrating the use of AI

- Utilizing AI to prepare your class

- How to mobilize controversies surrounding AI to engage students in debat - How to draw on examples related to AI to encourage students to ask questions about political economy, political theory, political sociology, comparative politics, public policy, or international relations

- What does the case of AI allow us to say (and therefore teach) about the restructuring of capitalism, the notion of "truth" in the mediatized public sphere, political communication strategies, inequalities within and between societies, and state relations?

Practical information

The RETEX half-day workshop is designed as a time for exchange and reflection on our individual and collective pedagogical practices. We highly value diversity in applications and therefore welcome contributions from PhD candidates and early-stage researchers as well as from adjunct faculty members and senior scholars.

Presentations can be delivered in French or English.

Date and time: Wednesday, 29 May, 2-6pm

Venue: room K008 (Saint-Thomas Campus)

If you wish to present your work, please submit a 300-word abstract to retexsciencespo2024@gmail.com by the 8th of April 2024.

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Sixtine Deroure

ATER 2022/2023
  • Sixtine DeroureSixtine Deroure

Sixtine Deroure, doctorante en sociologie politique à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, rejoint

l’équipe de Sciences Po cette année en tant qu’ATER pour enseigner la Conférence de

Méthode d’Introduction à la science politique sur le campus de Menton, en français et en

anglais.

 

Sa thèse, intitulée, « L’État et ses martyrs : deuil public, institutionnalisation du martyre

et luttes politiques dans l’Égypte postrévolutionnaire » porte sur différentes catégories

de martyrs reconnues officiellement par l’État égyptien depuis 2011 : les « martyrs de la

Révolution », mais aussi les « martyrs du devoir », policiers et militaires qui meurent

dans la « guerre contre le terrorisme ». Elle étudie notamment les procédés

d’institutionnalisation et de prise en charge de ces différentes catégories de martyrs et

de leurs familles, et interroge la production actuelle du deuil public autour des « martyrs

du devoir », au détriment des « martyrs de la Révolution ».

Sixtine Deroure est rattachée à l’UMR Développement et Sociétés, et associée au CEDEJ

au Caire.

 

Thèmes de recherche :

Sociologie de l’État, sociologie de l’action publique, sociologie des mobilisations,

martyrologies et deuil public, imaginaires collectifs et nationaux

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Amandine Le Bellec

ATER 2022/2023
  • Amandine Le BellecAmandine Le Bellec

Amandine Le Bellec est jeune chercheuse au Centre de Recherches Politiques de Sciences Po

(CEVIPOF) et à l’Ecole des Etudes Internationales de l’Université de Trente (Italie). Ses

recherches portent sur les réformes du Régime d’Asile Européen Commun et sur la prise en

compte progressive des enjeux de genre et de sexualité au sein des textes négociés au niveau

communautaire. Elle examine en particulier le rôle joué par les processus de politisation et de

dépolitisation dans la fabrique des normes européennes. Diplômée du master Human Rights

and Humanitarian Action de PSIA, Amandine Le Bellec s’intéresse plus largement aux

questions de droits fondamentaux, de politiques d’égalité, et de politiques migratoires en

Europe. Elle enseigne depuis plusieurs années des cours portant sur ces thématiques à

Sciences Po (programmes de bachelor et de master).

Pour l’année 2022-2023, elle assurera sur le campus de Nancy un électif en science politique

au prisme du genre et plusieurs conférences de méthodes d’introduction à la science politique.

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Un exemple de cours de Science politique

Les cours de politique comparée
  • Cours en amphithéatre ©Sciences PoCours en amphithéatre ©Sciences Po
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Hommage à Jean-Louis Quermonne

1927-2021
  • Jean-Louis Quermonne dans les années 1960 (Photo de l'Université Grenoble Alpes)Jean-Louis Quermonne dans les années 1960 (Photo de l'Université Grenoble Alpes)

Suite à la disparition de Jean-Louis Quermonne, le Département de Science politique rend hommage à l'une des figures de la discipline ayant exercé un rôle de pionnier dans l'étude de l'intégration européenne. Christian Lequesne revient sur son itinéraire entièrement consacré aux savoirs et aux institutions universitaires ainsi que sur sa personnalité hors du commun. Le département adresse à sa famille et à ses proches ses plus sincères condoléances

C’est un grand nom de la science politique française qui nous a quitté le 17 janvier 2021 à l’âge de 93 ans. Derrière sa parfaite courtoisie, Jean-Louis Quermonne a été un homme profondément engagé dans toutes les missions qui ont jalonné sa vie. Comme nous le rappelons avec François d’Arcy, Jean Leca et Yves Schemeil dans l’hommage rédigé pour Le Monde, il y eût trois engagements majeurs dans la vie de Jean-Louis Quermonne : la décolonisation, la réforme de l’université, et la construction européenne.

Jean-Louis Quermonne naît le 3 novembre 1927 à Caen. Son père y est médecin ORL. En 1944, le jeune homme de 17 ans participe aux équipes de volontaires chargés de déblayer une ville particulièrement touchée par les bombardements du Débarquement de Normandie. Jean-Louis Quermonne faisait parfois remonter son engagement européen à cette expérience difficile. Les débris et les morts lui ont donné pour toujours la conviction qu’il ne fallait plus jamais cela et que la construction de l’Europe était la solution. Jean-Louis Quermonne passe une licence en lettres et en droit dans sa ville natale, puis obtient à Paris le diplôme de Sciences Po et le titre de docteur en droit. Reçu à l’agrégation de droit public en 1952 (il a à peine 25 ans), il est nommé à la Faculté de Droit d’Alger où il enseigne principalement à l’Institut d’études politiques. Il y est le professeur de Jean Leca. Les deux hommes, si différents, garderont tout au long de leur vie une estime et une amitié profonde l’un pour l’autre.

Les années algéroises sont marquées par la guerre d’indépendance. Jean-Louis Quermonne comprend rapidement que la décolonisation est un processus inévitable et se lie d’amitié avec Pierre Mendès-France. Nommé à Grenoble en 1957, il continue à s’engager en faveur d’une solution pacifique pour l’Algérie. Au début des années soixante, il anime avec Pierre Mendès-France et Georges Lavau des colloques sur le sujet. Il écrit sur la décolonisation et sur les sociétés multicommunautaires. Grenoble devient pour l’universitaire normand et sa famille un port d’attache pour le reste de sa vie. A Grenoble, Jean-Louis Quermonne devient directeur du nouvel institut d’études politiques (IEP), développant les liens institutionnels avec la FNSP et le CNRS. Il crée le Centre de recherche sur l’aménagement du territoire (CERAT) devenu aujourd’hui le PACTE.

Croyant en une université réformée et prenant au sérieux le mouvement de mai 1968, Jean-Louis Quermonne entame son deuxième combat qui est la réforme de l’université française. Après la loi Edgar Faure, il préside l’université de Grenoble 2 et poursuit toute sa vie la quête d’une université autonome et pluridisciplinaire. Etant lui-même passé du droit public à la science politique, Jean-Louis Quermonne n’aime pas les frontières trop strictes entre les disciplines. Il croit aussi dans un rapport moderne avec les étudiants faisant du professeur un être disponible et non un mandarin prêchant du haut de sa chaire. Ce sont ces changements qu’il a sentis dans 1968. Un souvenir amusant : participant au début des années 2000 avec Jean-Louis à une soutenance de thèse en droit dans une université française qui pratiquait encore le port de la toge, le collègue invitant s’approcha de Jean-Louis Quermonne pour lui glisser : « Monsieur le Président, je suis certain que vous avez votre propre toge et qu’il n’y a pas besoin de vous en prêter une ? ». Jean-Louis Quermone répondit avec sa voix douce: « Non, on me la brûlée à Grenoble en 1968 et je n’ai jamais estimé utile d’en racheter une ! ». Il y eut un léger flottement !

Les années soixante-dix marquent l’engagement de Jean-Louis Quermonne au service de l’université. Il est en 1974 vice-président de la nouvelle CPU avant que Jean-Pierre Soisson ne l’appelle à être directeur des enseignements supérieurs et de la recherche. N’approuvant guère la politique d’Alice Saunié Seïté qui a remplacé Jean-Pierre Soisson, Jean-Louis Quermonne préfère démissionner.

C’est alors que commence en 1977 sa carrière de professeur à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris qui dure jusqu’en 1989. Jean-Louis Quermonne consacre son travail de recherche à l’Etat en France. Il publie sur les institutions et les administrations sous la Vème République, mais aussi sur la haute fonction publique et l’ENA (avec Jean-Luc Bodiguel). Avec Alfred Grosser, Georges Lavau et Jean Leca, son bureau mansardé se trouve au 5 ème étage du 56 rue des Saints Pères. C’est le siège du Cycle supérieur d’études politiques dont la coordination administrative est assurée par Françoise Kempf et de la bibliothèque de science politique. Nous sommes beaucoup à nous souvenir d’être allé voir Jean-Louis Quermonne dans son bureau pour discuter d’un papier de recherche ou d’une question de cours et d’être toujours reçu avec la même sérénité et amabilité. A Sciences Po Paris, Jean – Louis Quermonne devient Vice-Président de la FNSP. Il est aussi élu président de l’Association française de Science Politique.

Mais Jean-Louis Quermonne est grenoblois et il reprend un poste de professeur à l’IEP de Grenoble en 1989 pour y terminer sa carrière en 1996. A soixante ans passés, il décide de réorienter ses recherches vers la construction européenne, dans le contexte des grandes réformes institutionnelles que sont l’Acte unique européen et le traité de Maastricht. Jean-Louis Quermonne développe une relation d’estime et d’amitié avec Jacques Delors et participe à la création de l’Institut Notre Europe, devenu depuis Institut Jacques Delors. Aucune réforme institutionnelle de l’Union européenne jusqu’au traité de Lisbonne de 2009 n’échappe à l’analyse et aux notes de Jean-Louis Quermonne. Attaché à l’idée d’une gestion harmonieuse entre le centre et les périphéries dans les systèmes politiques, Jean-Louis Quermonne est fédéraliste. Mais réaliste sur l’action des Etats-membres, il défend l’idée d’une Fédération d’Etats-nations plutôt que celle de l’Etat fédéral européen. Ses relations avec les fédéralistes européens plus « classiques », comme Dusan Sidjanski à Genève, n’en sont pas moins très fortes. A soixante ans passés, Jean-Louis Quermonne publie chez MontchrestienLe Système politique de l’Union européenne, régulièrement réédité , ou encore L’Europe et le fédéralisme, avec Maurice Croisat. Outre ses enseignements à l’Institut d’études politiques de Grenoble, Jean-Louis Quermonne devient un professeur régulièrement invité au Collège d’Europe, à Bruges, où il se lie d’amitié avec Wolfgang Wessels qui dirige la « dominante politique et administration ».

En 1996, Richard Descoings lui demande de reprendre pour une période transitoire le Centre européen de Sciences Po créé l’année précédente par Alain Lancelot. Avec Pierre Muller, nous sommes chargés de l’assister dans la mise en œuvre du Cycle supérieur d’études européennes et des bourses Europe qui permettent de soutenir de jeunes thésards travaillant sur la construction européenne, comme Sabine Saurugger et Emiliano Grossman qui feront rapidement leur chemin. La mission est délicate car il ne faut pas froisser les laboratoires de recherche existants. Je retiens de cette époque quelques phrases cultes de Jean-Louis Quermonne qui ne m’ont jamais quittées, bien que je ne sois pas du tout certain d’avoir été capable de complètement les appliquer. Par exemple, « Evitons toujours les rancoeurs inutiles ! », ou encore « dans le monde universitaire, les réunions collectives ne suffisent pas pour convaincre les collègues ; il faut déjeuner avec eux en bilatéral ! ». C’était aussi Jean-Louis Quermonne, un homme qui avait un profond sens de la politique sans jamais avoir cédé d’ailleurs à l’attraction des mandats politiques. Des offres lui ont été faites plusieurs fois, disait-il, mais son goût de l’indépendance l’a toujours amené à refuser. L’Association française d’études européennes décerne depuis cinq ans le Prix Jean-Louis Quermonne de la meilleure thèse de science politique sur l’intégration européenne. En décembre 2020, il fut heureux d’apprendre que le dernier prix avait été décerné à une doctorante de Sciences Po Paris. C’était la dernière fois que je lui parlais.

Au-delà de son travail scientifique et de ses engagements, Jean-Louis Quermonne laisse le souvenir d’une personnalité attachante. Beaucoup d’entre nous relirons ses lettres toujours pleines d’humanité, formulées de sa belle écriture ronde à l’encre bleue. Jean-Louis Quermonne était un homme fidèle à ses amis, notamment lorsqu’ils étaient dans la détresse. Pendant des années, il rendit visite dans un établissement spécialisé à un ancien collègue souffrant d’une grave dépression. Ce sens profond de l’amitié restera ancré dans nos mémoires.

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Pablo Barnier-Khawam

ATER 2022/2023
  • Pablo Barnier-KhawamPablo Barnier-Khawam

Pablo Barnier-Khawam est diplômé du master de recherche en relations internationales de Sciences Po Paris et actuellement doctorant en science politique, mention relations internationales, au CERI. Dans le cadre de sa thèse, il étudie l’évolution historique de la revendication du droit à l’autodétermination par les Aymaras en Bolivie et les Mapuche au Chili de 1970 à 2019. Il co-organise également le Séminaire sur les approches postcoloniales (SAP) partagé entre le Centre de recherches internationales (CERI/CNRS) et le Centre Population et Développement (CEPED/IRD).

Pour l’année universitaire 2022-2023, il assurera quatre conférences de méthode pour le cours Espace mondial sur le campus de Paris et Reims.

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Bénédicte Laumond

  • Bénédicte LaumondBénédicte Laumond

Docteure en science politique (Université Paris-Saclay, Europa-Universität Viadrina), Bénédicte a développé deux principaux intérêts de recherche. D'une part, elle a rédigé une thèse sur la régulation du radicalisme de droite en France et en Allemagne qui a obtenu le prix de thèse allemand FORENA et qui a notamment donné lieu à la publication d'un ouvrage (Routledge, 2020). D’autre part, Bénédicte finit actuellement un post-doctorat au sein d'un programme de recherche franco-allemand (ANR-DFG) s'intéressant aux représentations du crime et de la justice. Certains résultats sont d'ores et déjà parus dans des revues telles que Déviance et Société et le Bulletin de Méthodologie Sociologique.

En 2020, Bénédicte rejoint le département de science politique de Sciences Po en tant qu’ATER où elle donnera un cours de politique comparée (Campus de Paris) et un cours d'introduction à la science politique (Campus de Nancy).

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Journée d'études RETEX 2020

  • RETEX 2020 - 20 novembre, 9h30-16h30RETEX 2020 - 20 novembre, 9h30-16h30

JOURNÉE D'ÉTUDE «RETOUR D'EXPÉRIENCE PÉDAGOGIQUE» RETEX 2020

Enseigner constitue un des pivots du métier d’universitaire. Si la production scientifique et les activités de recherche sont particulièrement investies tant pour la carrière académique que dans la formation des doctorants, la formation à l’enseignement l’est beaucoup moins. Elle révèle un paradoxe non des moindres puisque l’une des missions premières de l’université consiste à former des étudiants.

Eu égard à ses fonctions premières, le département de science politique offre un cadre approprié pour mener une réflexion de fond à cet égard, à la fois entre pairs mais aussi et surtout à destination des doctorants qui assurent des conférences de méthode au sein de l’établissement (que ce soit en tant que contractuels, vacataires ou Aters). Cette journée a eu lieu le vendredi 20 novembre 2020 (Programme, PDF, 162Ko), avec la collaboration du Laboratoire d'Innovation pédagogique.

L’objectif de cette journée organisée par le Département de Science politique est double :

  1. Favoriser les échanges d’expériences sur les manières de former les étudiants aux fondamentaux de la discipline mais aussi aux domaines de spécialisation
  2. Offrir aux jeunes collègues, en particulier les doctorants, un espace de discussion en vue de les accompagner au mieux dans leur pratique d’enseignants

Les séances et comptes rendus des différents séminaires sont disponibles intégralement en ligne:

Comité d’organisation : Frédéric Ramel, Nabila Abbas, Camille Escudé, Adrien Estève, Emilien Fargues, Bénédicte Laumond, Louise Perrodin, Arianna Sforzini.

Contactadrien.esteve@sciencespo.fr

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Hugo Meijer

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Nabila Abbas

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Natasha Wunsch

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Émilien Fargues

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Bertrand Badie

Plus de 45 ans au service de la Science politique et des Relations internationales
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Pascal Perrineau

Une figure de l’analyse de la vie politique française
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The Department of Political Science

The main function of the Political Science Department is to coordinate the various teaching activities related to the discipline within Sciences Po. In close collaboration with the three research centres (CEE, CERI, CEVIPOF), the department is responsible for the teaching programme at the undergrad level and at the different faculties. It also defines the guidelines for the recruitment of teachers and participates in career management. Its missions are carried out taking into account the representativeness and balance of the different sub-sectors of the discipline.

The Department of Political Science currently has around 90 members within the Permanent Faculty.

After the elections held in November 2019, the elected members of the bureau are 

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Marlène Rosano-Grange

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Marlène Rosano-Grange est diplômée de l’IEP de Bordeaux en droit public, de la faculté de sciences politiques et sociologie de Grenade et de l’IEP de Paris en relations internationales. Sa thèse revisite l’histoire de l’intégration européenne en analysant le poids des structures et des conjonctures internationales à l’aide d’une approche de sociologie historique. Elle a enseigné la sociologie des relations internationales dans le master éponyme et elle a créé un cours-séminaire portant sur l’articulation multi-scalaire des politiques publiques européennes dans le cadre du collège universitaire. Elle participe également à un projet de recherche en économie politique portant sur les récits de la mondialisation entre le Centre d'études internationales de Sciences Po (CERI) et l'Université de Princeton.

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