Une fois encore, le Proche-Orient s’embrase. Dans l’État hébreu, où le nationalisme progresse inexorablement, le camp de la paix est devenu inaudible, observe le politiste Alain Dieckhoff.
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Publié le 24 mai 2021 à 14h30
Les images, insupportables, du conflit israélo-palestinien ressurgissent dans l’actualité avec une violence qu’on n’y avait plus vue depuis près de vingt ans. Cette fois, l’étincelle est partie de Jérusalem-Est, autour de logements occupés par des Palestiniens, dont des Juifs revendiquent la propriété pour y avoir vécu avant 1948. Mais au-delà de ces quelques maisons le différend est évidemment plus profond. Deux peuples pour une seule terre ne se sont jamais entendus sur les modalités d’un partage…
Dans les années 1920 déjà, bien avant la création de l’État d’Israël, des affrontements y opposaient Juifs et Palestiniens. Un siècle plus tard, la situation est si complexe qu’elle semble
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