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Le pays des deux saintes mosquées est riche. Avec plus de 194 milliards de dollars de barils de pétrole exportés en 2018, l'Arabie saoudite est le premier exportateur de brut au monde. Mais, depuis 2014 et la chute brutale des cours, la pétromonarchie, qui tire 70 % de ses recettes publiques de sa production d'or noir, perd de l'argent. Riyad prévoit ainsi cette année un déficit budgétaire de 50 milliards de dollars, soit 6,4 % de son produit intérieur brut. L'heure est grave. Jusqu'ici, les 20 millions de Saoudiens étaient habitués à vivre grassement des redistributions de la rente pétrolière.
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« D'ici cinq à dix ans, les Saoudiens sont voués à voir leur niveau de vie baisser, ce qui produira du mécontentement », avertit Sté...
"couper" avec le passé pour ne pas être comparés aux Jivaros !
Avec ou sans pétrole, ils domineront le monde par la religion. Et de ça, hélas, il n'y aura jamais de pénurie.
L’argent ne suffit pas pour modifier l’esprit, les mentalités, l’origine... Et en plus il faut de la volonté, de l’ouverture d’esprit !