J’ai connu Georges dans les années 1980 à Grenoble. Récemment nommé directeur de l’Institut français d’Amérique latine à Mexico, il avait soutenu ma candidature à une bourse de recherche. Depuis cette époque, nous avons entretenu une solide amitié, doublée d’un profond respect réciproque.

Nos échanges sur l’Amérique latine, quand il était sur place au Mexique ou au Chili ou quand il était en France, à Lyon et à Paris, ont été constants et toujours très stimulants.

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